Mon top 5 des séries télévisées II
Je l'avais dit, je l'ai fait. Voici la seconde et avant dernière partie de mon top des séries télévisées que je regarde et que j'aime beaucoup. Autant la première partie répertoriait mes cinq séries télévisées préférées, que je ne me lassserais jamais de rereregarder et adorer, autant celui-ci contient cinq autres séries que j'aime beaucoup regarder mais pas avec autant d'enthousiasme que les précédentes. Ce ne sont pas des coups de coeur, néanmoins j'aime suffisament ces séries pour les visionner, revisionner. Je vais donc essayer de faire un rapide résumé et avis sur ces cinq séries télévisées tout en restant claire et que ce soit suffisament intéressant et/ou complet. Donc voilà.
Je l'avais dit, je l'ai fait. Voici la seconde et avant dernière partie de mon top des séries télévisées que je regarde et que j'aime beaucoup. Autant la première partie répertoriait mes cinq séries télévisées préférées, que je ne me lassserais jamais de rereregarder et adorer, autant celui-ci contient cinq autres séries que j'aime beaucoup regarder mais pas avec autant d'enthousiasme que les précédentes. Ce ne sont pas des coups de coeur, néanmoins j'aime suffisament ces séries pour les visionner, revisionner. Je vais donc essayer de faire un rapide résumé et avis sur ces cinq séries télévisées tout en restant claire et que ce soit suffisament intéressant et/ou complet. Donc voilà.
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Série number five : Charmed.
Alors, j'ai franchement hésité à la mettre dans ce classement, mais finalement je l'ai fait, il faut dire que j'ai grandi avec cette série. Ce n'est certainement pas la première que j'ai regardé et adoré (Une nounou d'enfer [Je t'aime, Niles <3], Notre belle famille, Ma sorcière bien-aimée, Docteur Quinn femme médecin et j'en passe), mais celle-ci fut mon coup de coeur étant enfant et jeune adolescente, j'en étais fan. En plus du visionnage des épisodes de la série, j'avais quelques produits dérivés comme des livres, divers magazines, un oreiller, une taie d'oreiller, deux jeux de société, un débardeur, un collier et de parlons pas des nombreux posters qui ont pû orner ma chambre à l'époque ni le nombre de fois que j'ai pû écouter la chanson du générique How soon is now ? de Love Spit Love.
Alors Charmed... kesako ? En gros, ça commençe avec l'arrivée dans le manoir familial de la cadette d'une fratrie de trois soeurs, Phoebe rentre chez elle et en fouillant dans le manoir découvre un vieux grimoire dont elle lit la première formule. Cette formule était une incantation magique qui a réveillé les pouvoirs magiques des trois soeurs : elles deviennent sorcières comme le furent leur mère, grand-mère... Être une sorcière est loin d'être facile pour Prue, Piper et Phoebe, surtout que leurs pouvoirs ne doivent pas être mis au service du gain personnel mais à la lutte contre les démons et autres créature maléfiques attaquant sorcières et être humains... c'est en gros le résumé général même si la série se résume à bien plus, pensez donc avec huit saisons ! Et si à présent, ma préférence s'en est allée vers un autre jeune sorcier anglais à lunettes, j'ai toujours un faible pour la série. Pourtant, elle avait des défauts et avait commençé à perdre de sa superbe après la saison quatre, mais je regardais toujours avec plaisir même si après la saison quatre, Charmed n'était plus tout à fait ce qu'il était. L'ayant revisionné il y a quelques mois, c'est clair qu'après la saison quatre, les saisons étaient bien moins intéressantes que les premières et que tout çe ne tenait plus trop debout, ça se regarde toujours ; je dois dire que la série a gagné un certain regain d'intérêt au boût de la saison six (ou à partir de la fin de la saison 5 jusqu'à la saison 7) avec l'arrivée du personnage de Chris Perry, ce cher être de lumière du futur névrosé et mystérieux qui cache plein de secrets et de surprises. Ce personnage a vraiment sauvé la série, je crois même qu'il est devenu mon préféré de toute la série alors qu'avant, ma préférence allait vers la cadette des soeurs, Phoebe Halliwell, et au couple passionné et interdit qu'elle formait avec le beau démon Cole Turner (joué par Julian McMahon, miaaaaam <3).
Mes saisons préférées doivent être les quatre premières en plus de la sixième car les saisons 5, 7 et 8, c'était un peu exagéré, certes il y avait des choses et idées intéressantes mais ces saisons étaient moins entraînantes que les autres. Mais on a de tout dans cette série : des sorcières, des êtres de lumières (sortes d'anges gardien pour sorcières), des démons, des sirènes, des fées, des nains, une école de sorcellerie, des voyages dans le temps, des transformations, beaucoup de magie, beaucoup de couples dont certains intéressants, des personnages hauts en couleur, de la famille, des fantômes, des sortilèges et potions et j'en passe. Et si j'aimais bien Prue, l'idée d'une soeur cachée était intéressante, je la trouve plutôt bien Paige et l'on voit là l'évolution et le changement chez la famille Halliwell : Piper devient l'aînée, la cadette Phoebe se retrouve la soeur du milieu et doit prendre des responsabilités surtout que c'est Paige la benjamine à présent. Enfin bref, si la série est vieille, je trouve qu'elle vieillit plutôt bien, elle a gardé un certain charme, je ne sais pas si elle peut encore plaire mais ça reste une série sympathique malgrè ses quelques défauts.
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Série number four : Sex and the city.
Sex and the City, c'est ce que je suivais le vendredi soir avant de m'acheter les coffrets des six saisons. Ce n'est certes pas du grand art quand je revisionne, mais ça reste l'une des séries que je prends plaisir à revisionner les soirs quand je m'ennuie, c'est très divertissant. C'est un excellent passe-temps, pas de prise de tête, juste du plaisir à l'écran même si maintenant que j'y repense, 30 minutes par épisode ce n'est pas assez. Il faut dire que les séries que je suis depuis un-deux ans durent 40 minutes minimum, 90 minutes maximum pour un épisode alors, sûr que pour moi, 30 minutes c'pas grand chose, mais je ne chipoterai pas là-dessus.
Sex and the city est une chronique tenue par la journaliste Carrie Bradshaw dans le New York Time. Elle y tient des chroniques sur le sexe et sur les relations amoureuses, s'inspirant de sa propre expérience mais aussi celles de ses trois meilleures amies vivant elles-aussi à New York : la business woman nymphomane Samantha Jones, femme d'âge mûr vouant une passion au sexe et aux hommes beaux et sexy ; la galleriste d'art fleur bleu pour qui amour rime avec toujours, Charlotte York, jeune romantique rêvant aux mariages parfaits avec enfants et animaux de compagnie ; et enfin l'avocate terre à terre, pessimiste au sujet de la gente masculine, Miranda Hobbes. Ces quatre amies sont belles, brillantes, indépendante et ont tout ce qu'elles veulent, sauf le partenaire idéal, s'il existe. Cupidon semble avoir baissé les bras pour la ville de Manhattan où, dans toute cette jungle new yorkaise, l'amour semble avoir laissé place aux parties de jambes en l'air. Il suffit de voir Miranda pour qui chaque homme est un microbe, un cas désespéré et que l'homme parfait n'existe pas ; et Samantha qui ne voit chez les hommes qu'un moyen de satisfaire ses désirs sexuels. A l'inverse de Charlotte qui recherche son prince charmant, quant à Carrie, elle se contente de relations amoureuses et sexuelles avant de rechercher, plus tard dans la série, au fur et à mesure qu'elle revoit ses priorités en avançant dans sa trentaine, un homme avec qui vivre sa vie.
Certaines choses dans la série auraient pû être plus approfondies et certaines relations amoureuses finissent de façon idiote et puérille, heureusement que les héroïnes gagnent en profondeur et maturité par la suite, à un point où Samantha sera horrifiée de constater qu'elle aussi peut tomber amoureuse, où Miranda ravalera certaines de ses convictions sur les hommes, où Charlotte s'aperçevra que les mariages ne sont pas toujours joyeux et parfaits, et même Carrie qui finira par rechercher quelqu'un avec qui passer sa vie au lieu de toujours sortir et baiser pour le fun. Le temps de six saisons, nous assistons donc à leurs aventures contemporaines, entre états d'âmes et frasques sexuelles. Dans l'ère de l'innocence perdue, Carrie jette un regard drôle et lucide sur la société new yorkaise, tout en conservant son attachement profond pour la ville, entre elle et New York, c'est une grande histoire d'amour après tout. Et puis, il faut dire que les personnages sont attachants (les hétéros comme les homos, rien qu'Anthony le styliste ou Stanford) et que certaines répliques sont justes géniales, quoi ('Tu es fiançée avec lui et tu n'as pas encore couché avec ? Chérie, quand on achète une voiture, il faut l'essayer avant !' réplique d'ailleurs reprise dans Desperate Housewives, saison trois ;)) même si la fin de la série respire un peu trop le heureux-pour-toujours-et-tout-le-monde-est-casé et que ça manque de matûrité et de profondeur au début, mais ça reste une série excellente que je ne me lasse pas de revoir.
Série number five : Charmed.
Alors, j'ai franchement hésité à la mettre dans ce classement, mais finalement je l'ai fait, il faut dire que j'ai grandi avec cette série. Ce n'est certainement pas la première que j'ai regardé et adoré (Une nounou d'enfer [Je t'aime, Niles <3], Notre belle famille, Ma sorcière bien-aimée, Docteur Quinn femme médecin et j'en passe), mais celle-ci fut mon coup de coeur étant enfant et jeune adolescente, j'en étais fan. En plus du visionnage des épisodes de la série, j'avais quelques produits dérivés comme des livres, divers magazines, un oreiller, une taie d'oreiller, deux jeux de société, un débardeur, un collier et de parlons pas des nombreux posters qui ont pû orner ma chambre à l'époque ni le nombre de fois que j'ai pû écouter la chanson du générique How soon is now ? de Love Spit Love.
Alors Charmed... kesako ? En gros, ça commençe avec l'arrivée dans le manoir familial de la cadette d'une fratrie de trois soeurs, Phoebe rentre chez elle et en fouillant dans le manoir découvre un vieux grimoire dont elle lit la première formule. Cette formule était une incantation magique qui a réveillé les pouvoirs magiques des trois soeurs : elles deviennent sorcières comme le furent leur mère, grand-mère... Être une sorcière est loin d'être facile pour Prue, Piper et Phoebe, surtout que leurs pouvoirs ne doivent pas être mis au service du gain personnel mais à la lutte contre les démons et autres créature maléfiques attaquant sorcières et être humains... c'est en gros le résumé général même si la série se résume à bien plus, pensez donc avec huit saisons ! Et si à présent, ma préférence s'en est allée vers un autre jeune sorcier anglais à lunettes, j'ai toujours un faible pour la série. Pourtant, elle avait des défauts et avait commençé à perdre de sa superbe après la saison quatre, mais je regardais toujours avec plaisir même si après la saison quatre, Charmed n'était plus tout à fait ce qu'il était. L'ayant revisionné il y a quelques mois, c'est clair qu'après la saison quatre, les saisons étaient bien moins intéressantes que les premières et que tout çe ne tenait plus trop debout, ça se regarde toujours ; je dois dire que la série a gagné un certain regain d'intérêt au boût de la saison six (ou à partir de la fin de la saison 5 jusqu'à la saison 7) avec l'arrivée du personnage de Chris Perry, ce cher être de lumière du futur névrosé et mystérieux qui cache plein de secrets et de surprises. Ce personnage a vraiment sauvé la série, je crois même qu'il est devenu mon préféré de toute la série alors qu'avant, ma préférence allait vers la cadette des soeurs, Phoebe Halliwell, et au couple passionné et interdit qu'elle formait avec le beau démon Cole Turner (joué par Julian McMahon, miaaaaam <3).
Mes saisons préférées doivent être les quatre premières en plus de la sixième car les saisons 5, 7 et 8, c'était un peu exagéré, certes il y avait des choses et idées intéressantes mais ces saisons étaient moins entraînantes que les autres. Mais on a de tout dans cette série : des sorcières, des êtres de lumières (sortes d'anges gardien pour sorcières), des démons, des sirènes, des fées, des nains, une école de sorcellerie, des voyages dans le temps, des transformations, beaucoup de magie, beaucoup de couples dont certains intéressants, des personnages hauts en couleur, de la famille, des fantômes, des sortilèges et potions et j'en passe. Et si j'aimais bien Prue, l'idée d'une soeur cachée était intéressante, je la trouve plutôt bien Paige et l'on voit là l'évolution et le changement chez la famille Halliwell : Piper devient l'aînée, la cadette Phoebe se retrouve la soeur du milieu et doit prendre des responsabilités surtout que c'est Paige la benjamine à présent. Enfin bref, si la série est vieille, je trouve qu'elle vieillit plutôt bien, elle a gardé un certain charme, je ne sais pas si elle peut encore plaire mais ça reste une série sympathique malgrè ses quelques défauts.
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Série number four : Sex and the city.
Sex and the City, c'est ce que je suivais le vendredi soir avant de m'acheter les coffrets des six saisons. Ce n'est certes pas du grand art quand je revisionne, mais ça reste l'une des séries que je prends plaisir à revisionner les soirs quand je m'ennuie, c'est très divertissant. C'est un excellent passe-temps, pas de prise de tête, juste du plaisir à l'écran même si maintenant que j'y repense, 30 minutes par épisode ce n'est pas assez. Il faut dire que les séries que je suis depuis un-deux ans durent 40 minutes minimum, 90 minutes maximum pour un épisode alors, sûr que pour moi, 30 minutes c'pas grand chose, mais je ne chipoterai pas là-dessus.
Sex and the city est une chronique tenue par la journaliste Carrie Bradshaw dans le New York Time. Elle y tient des chroniques sur le sexe et sur les relations amoureuses, s'inspirant de sa propre expérience mais aussi celles de ses trois meilleures amies vivant elles-aussi à New York : la business woman nymphomane Samantha Jones, femme d'âge mûr vouant une passion au sexe et aux hommes beaux et sexy ; la galleriste d'art fleur bleu pour qui amour rime avec toujours, Charlotte York, jeune romantique rêvant aux mariages parfaits avec enfants et animaux de compagnie ; et enfin l'avocate terre à terre, pessimiste au sujet de la gente masculine, Miranda Hobbes. Ces quatre amies sont belles, brillantes, indépendante et ont tout ce qu'elles veulent, sauf le partenaire idéal, s'il existe. Cupidon semble avoir baissé les bras pour la ville de Manhattan où, dans toute cette jungle new yorkaise, l'amour semble avoir laissé place aux parties de jambes en l'air. Il suffit de voir Miranda pour qui chaque homme est un microbe, un cas désespéré et que l'homme parfait n'existe pas ; et Samantha qui ne voit chez les hommes qu'un moyen de satisfaire ses désirs sexuels. A l'inverse de Charlotte qui recherche son prince charmant, quant à Carrie, elle se contente de relations amoureuses et sexuelles avant de rechercher, plus tard dans la série, au fur et à mesure qu'elle revoit ses priorités en avançant dans sa trentaine, un homme avec qui vivre sa vie.
Certaines choses dans la série auraient pû être plus approfondies et certaines relations amoureuses finissent de façon idiote et puérille, heureusement que les héroïnes gagnent en profondeur et maturité par la suite, à un point où Samantha sera horrifiée de constater qu'elle aussi peut tomber amoureuse, où Miranda ravalera certaines de ses convictions sur les hommes, où Charlotte s'aperçevra que les mariages ne sont pas toujours joyeux et parfaits, et même Carrie qui finira par rechercher quelqu'un avec qui passer sa vie au lieu de toujours sortir et baiser pour le fun. Le temps de six saisons, nous assistons donc à leurs aventures contemporaines, entre états d'âmes et frasques sexuelles. Dans l'ère de l'innocence perdue, Carrie jette un regard drôle et lucide sur la société new yorkaise, tout en conservant son attachement profond pour la ville, entre elle et New York, c'est une grande histoire d'amour après tout. Et puis, il faut dire que les personnages sont attachants (les hétéros comme les homos, rien qu'Anthony le styliste ou Stanford) et que certaines répliques sont justes géniales, quoi ('Tu es fiançée avec lui et tu n'as pas encore couché avec ? Chérie, quand on achète une voiture, il faut l'essayer avant !' réplique d'ailleurs reprise dans Desperate Housewives, saison trois ;)) même si la fin de la série respire un peu trop le heureux-pour-toujours-et-tout-le-monde-est-casé et que ça manque de matûrité et de profondeur au début, mais ça reste une série excellente que je ne me lasse pas de revoir.
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Série number three : Docteur House / House M.D.
J'avoue que je suis pas trop fan des séries hospitalières comme Urgence, Private Practice, Grey's Anatomy... cependant, je me suis beaucoup attachée à Docteur House. Je ne sais plus exactement comment j'ai découvert cette série ou qu'est-ce qui m'a décidé à visionner cette série mais franchement, j'aime ! Et si depuis la dernière saison, mon intérêt s'est quelque peu refroidit, j'aime toujours cette série. Et cette série vaut largement sa quatrième place puisqu'elle se situe dans un hôpital avec une panoplie de médecins qui traitent de maladies et que pour me faire aimer une série hospitalière, ça relève du miracle.
Mais il faut dire que le docteur Gregory House n'est pas tout à fait comme les autres médecins. Si j'aime énormément le personnage, me faisant un peu rappeller un certain détective anglais (Sherlock Holmes), je ne voudrais certainement pas l'avoir comme médecin. Cynique, sarcastique, parfois froid, insolant avec peu de respect pour ses patients et confrères mais terriblement intelligent. Tel Sherlock Holmes, chaque maladie particulière d'un patient est comme une enquête policière. Recherche des symptômes, fouillage de la maison du patient pour vérifier si quelque chose a pû être à l'origine de la maladie, une maladie comme un criminel qu'il faut combattre, vaincre car ce genre de maladie réelles ou pas sont comme du jamais-vu, de véritables casses-têtes médicaux. House et son équipe ont parfois eu des vertes et des pas mûres. Il y avait vraiment des fois où je me demandais si ces cas médicaux, pour la plupart, étaient réels. Mais sérieusement, chaque cas médical est comme une enquête policière, les médecins de l'équipe de House vont même jusqu'à fouiller la maison du patient pour savoir s'il n'y aurait pas une chose qui aurait déclenché la maladie. Ca fait un peu penser à Sherlock Holmes, d'ailleurs la série s'en inspire un peu. House habite dans une maison portant le numéro 221b, il enquête pour les maladie, est aussi froid et cynique que lui, si ce n'est plus, joue un instrument de musique. House rappelle aussi le nom Holmes, tout comme Wilson celui de Watson et le docteur James Wilson étant le seul véritable ami de House, ça rappelle pas un peu l'amitié Holmes/Watson ? Je suis attachée à cette amitié House/Wilson, même si je trouve qu'on ne voit pas assez Wilson à mon goût, mon cancérologue juif favori.
En plus de Wilson, nous avons le patronne de l'hôpital Lisa Cuddy et les coéquipiers de House, à savoir Foreman, Chase et Cameron puis plus tard Numéro Treize, Taub, et d'autres. Voyant House comme Holmes, je dois dire que j'ai dû mal à le voir amoureux donc, désolée pour les fans mais le House/Cuddy ne m'attire pas plus que ça. Sinon, en plus des cas médicaux étranges, de l'humour, toujours de l'humour, parfois sarcastique, ironique, avec des répliques drôles et moqueuses, des moments drôles (Wilson ayant une faiblesse pour la gente féminine au grand dam de House qui est toujours du style Va-piquer-le-pote-d'un-autre chez une femme qui a le grapin sur Wilson) comme des moments tristes (la fin de la saison quatre avec Wilson et Amber, qu'est-ce que j'ai pû chialer !) et si mon intérêt s'est refroidi après la saison cinq-six, je suis toujours la série, ne serait-ce que pour le docteur Wilson ou les répliques à la House. Mais honnêtement, même si j'aime beaucoup la série, j'espère qu'elle s'arrêtera après la saison huit, déjà qu'un personnage récurant s'en va, elle s'éloigne des premières saisons, mieux vaut arrêter une bonne série tant qu'elle est encore une bonne série, avant que ça commençe à dérailler.
Série number three : Docteur House / House M.D.
J'avoue que je suis pas trop fan des séries hospitalières comme Urgence, Private Practice, Grey's Anatomy... cependant, je me suis beaucoup attachée à Docteur House. Je ne sais plus exactement comment j'ai découvert cette série ou qu'est-ce qui m'a décidé à visionner cette série mais franchement, j'aime ! Et si depuis la dernière saison, mon intérêt s'est quelque peu refroidit, j'aime toujours cette série. Et cette série vaut largement sa quatrième place puisqu'elle se situe dans un hôpital avec une panoplie de médecins qui traitent de maladies et que pour me faire aimer une série hospitalière, ça relève du miracle.
Mais il faut dire que le docteur Gregory House n'est pas tout à fait comme les autres médecins. Si j'aime énormément le personnage, me faisant un peu rappeller un certain détective anglais (Sherlock Holmes), je ne voudrais certainement pas l'avoir comme médecin. Cynique, sarcastique, parfois froid, insolant avec peu de respect pour ses patients et confrères mais terriblement intelligent. Tel Sherlock Holmes, chaque maladie particulière d'un patient est comme une enquête policière. Recherche des symptômes, fouillage de la maison du patient pour vérifier si quelque chose a pû être à l'origine de la maladie, une maladie comme un criminel qu'il faut combattre, vaincre car ce genre de maladie réelles ou pas sont comme du jamais-vu, de véritables casses-têtes médicaux. House et son équipe ont parfois eu des vertes et des pas mûres. Il y avait vraiment des fois où je me demandais si ces cas médicaux, pour la plupart, étaient réels. Mais sérieusement, chaque cas médical est comme une enquête policière, les médecins de l'équipe de House vont même jusqu'à fouiller la maison du patient pour savoir s'il n'y aurait pas une chose qui aurait déclenché la maladie. Ca fait un peu penser à Sherlock Holmes, d'ailleurs la série s'en inspire un peu. House habite dans une maison portant le numéro 221b, il enquête pour les maladie, est aussi froid et cynique que lui, si ce n'est plus, joue un instrument de musique. House rappelle aussi le nom Holmes, tout comme Wilson celui de Watson et le docteur James Wilson étant le seul véritable ami de House, ça rappelle pas un peu l'amitié Holmes/Watson ? Je suis attachée à cette amitié House/Wilson, même si je trouve qu'on ne voit pas assez Wilson à mon goût, mon cancérologue juif favori.
En plus de Wilson, nous avons le patronne de l'hôpital Lisa Cuddy et les coéquipiers de House, à savoir Foreman, Chase et Cameron puis plus tard Numéro Treize, Taub, et d'autres. Voyant House comme Holmes, je dois dire que j'ai dû mal à le voir amoureux donc, désolée pour les fans mais le House/Cuddy ne m'attire pas plus que ça. Sinon, en plus des cas médicaux étranges, de l'humour, toujours de l'humour, parfois sarcastique, ironique, avec des répliques drôles et moqueuses, des moments drôles (Wilson ayant une faiblesse pour la gente féminine au grand dam de House qui est toujours du style Va-piquer-le-pote-d'un-autre chez une femme qui a le grapin sur Wilson) comme des moments tristes (la fin de la saison quatre avec Wilson et Amber, qu'est-ce que j'ai pû chialer !) et si mon intérêt s'est refroidi après la saison cinq-six, je suis toujours la série, ne serait-ce que pour le docteur Wilson ou les répliques à la House. Mais honnêtement, même si j'aime beaucoup la série, j'espère qu'elle s'arrêtera après la saison huit, déjà qu'un personnage récurant s'en va, elle s'éloigne des premières saisons, mieux vaut arrêter une bonne série tant qu'elle est encore une bonne série, avant que ça commençe à dérailler.
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Série number two : Desperate Housewives.
Franchement, je ne pouvais pas y échapper ! Il y a deux-trois ans, j'aurais sans doute plaçé cette série en première position, mais j'ai eu entre deux un énorme coup de coeur pour deux séries télévisées que vous retrouverez plus bas. Mon intérêt et mon attachement pour ces deux séries ont quelque peu dépassé celui pour Desperate Housewives, mais qu'importe ! J'adore cette série ! Beaucoup ont succombé au charme de la série d'ailleurs, donc je ne fais pas dans l'original. Cette série n'a d'ailleurs rien d'original, elle reprend les recettes d'autres séries dont je ne me rappelle plus le nom à part Sex and the city.
J'ai commençé à regarder cette série l'année de sa parution en France en 2006, sur la chaîne M6, et j'ai accroché depuis la première saison. Wisteria Lane, banlieuse chic, belle, avec de jolies maison, un quartier calme et paisibles, les gentils voisins, l'herbe toujours verte... presque le Paradis ! Sauf qu'à chaque saison, nous avons forçément un voisin avec un lourd secret qui finira par être révélé peu à peu, surtout à cause de quelques voisines très curieuses : la maladroite mais adorable Susan Mayer, divorçée et maman d'une jeune adolescente sage et studieuse ; Lynette Scavo, ancienne employée modèle d'une grande entreprise qui a choisi de démissionner pour être maman au foyer de... trois petits monstres dont un bébé ; Bree Van de Kampt, la perfectionniste douée en cuisine et pour les tâches ménagères ; Gabrielle Solis, ancien mannequin venue s'installer à Wisteria Lane après son mariage ; Edie Britt, la blonde pulpeuse, croqueuse d'hommes, garce à ses heures perdues. Donc oui, tout est beau, tout est gentil à Wisteria Lane, la ville parfaite avec ses habitants parfaits avec des secrets et/ou une vie privée pas si parfaits que ça.
Des problèmes communs (problèmes de couples/avec les enfants/au boulot/la famille) aux secrets les plus lourds. Des cadavres cachés, un secret honteux ou j'en passe des meilleures. A chaque série, un secret d'un voisin, si possible un mort par-ci par-là d'un personnage plus ou moins important, les personnages principaux qui ont chacun un problème car si tout était rose bonbon, la série serait moins intéressante, le tout dans une banlieue chic. Même recette mais ça fonctionne, je ne m'en lasse pas encore. Chaque personnage est attachant à sa manière, parfois on ne trouve le dénouement de l'histoire qu'à la toute fin, parfois on devine avant mais c'est toujours intéressant avec une panoplie de personnages tout aussi intéressants. Pour ma part, je préfère Lynette Scavo, pauvre maman desespérée mais drôle, cynique et sournoise à ses heures perdues, mais toujours amicale, agréable et sympathique et que pour être maman de trois garçons turbulents et d'un bébé avec un mari toujours au boulot sans tomber dans la déprime totale, il faut être sacrément tenace. Pour les couples, je me penche vers qui-se-ressemble-s'assemble avec Bree et Orson et aussi les-contraires-s'attirent avec la maladroite Susan et le beau plombier Mike Delfino...
Bref, cette série c'est du bonheur, c'est sympathique, drôle ou triste (depuis la saison trois-quatre, c'est obligé : il y a un épisode spécial catastrophe, mais même avant on avait le droit avec des moments tristounets, ne serait-ce qu'avec la mort de certains personnages, la musique aidant beaucoup), j'espère que les producteurs continueront à nous enchanter et à nous surprendre, tant qu'à faire ! Car si la célèbre série peut perdre de sa superbe parfois, que la recette est toujours la même, ça fonctionne et c'est très sympathique !
Franchement, je ne pouvais pas y échapper ! Il y a deux-trois ans, j'aurais sans doute plaçé cette série en première position, mais j'ai eu entre deux un énorme coup de coeur pour deux séries télévisées que vous retrouverez plus bas. Mon intérêt et mon attachement pour ces deux séries ont quelque peu dépassé celui pour Desperate Housewives, mais qu'importe ! J'adore cette série ! Beaucoup ont succombé au charme de la série d'ailleurs, donc je ne fais pas dans l'original. Cette série n'a d'ailleurs rien d'original, elle reprend les recettes d'autres séries dont je ne me rappelle plus le nom à part Sex and the city.
J'ai commençé à regarder cette série l'année de sa parution en France en 2006, sur la chaîne M6, et j'ai accroché depuis la première saison. Wisteria Lane, banlieuse chic, belle, avec de jolies maison, un quartier calme et paisibles, les gentils voisins, l'herbe toujours verte... presque le Paradis ! Sauf qu'à chaque saison, nous avons forçément un voisin avec un lourd secret qui finira par être révélé peu à peu, surtout à cause de quelques voisines très curieuses : la maladroite mais adorable Susan Mayer, divorçée et maman d'une jeune adolescente sage et studieuse ; Lynette Scavo, ancienne employée modèle d'une grande entreprise qui a choisi de démissionner pour être maman au foyer de... trois petits monstres dont un bébé ; Bree Van de Kampt, la perfectionniste douée en cuisine et pour les tâches ménagères ; Gabrielle Solis, ancien mannequin venue s'installer à Wisteria Lane après son mariage ; Edie Britt, la blonde pulpeuse, croqueuse d'hommes, garce à ses heures perdues. Donc oui, tout est beau, tout est gentil à Wisteria Lane, la ville parfaite avec ses habitants parfaits avec des secrets et/ou une vie privée pas si parfaits que ça.
Des problèmes communs (problèmes de couples/avec les enfants/au boulot/la famille) aux secrets les plus lourds. Des cadavres cachés, un secret honteux ou j'en passe des meilleures. A chaque série, un secret d'un voisin, si possible un mort par-ci par-là d'un personnage plus ou moins important, les personnages principaux qui ont chacun un problème car si tout était rose bonbon, la série serait moins intéressante, le tout dans une banlieue chic. Même recette mais ça fonctionne, je ne m'en lasse pas encore. Chaque personnage est attachant à sa manière, parfois on ne trouve le dénouement de l'histoire qu'à la toute fin, parfois on devine avant mais c'est toujours intéressant avec une panoplie de personnages tout aussi intéressants. Pour ma part, je préfère Lynette Scavo, pauvre maman desespérée mais drôle, cynique et sournoise à ses heures perdues, mais toujours amicale, agréable et sympathique et que pour être maman de trois garçons turbulents et d'un bébé avec un mari toujours au boulot sans tomber dans la déprime totale, il faut être sacrément tenace. Pour les couples, je me penche vers qui-se-ressemble-s'assemble avec Bree et Orson et aussi les-contraires-s'attirent avec la maladroite Susan et le beau plombier Mike Delfino...
Bref, cette série c'est du bonheur, c'est sympathique, drôle ou triste (depuis la saison trois-quatre, c'est obligé : il y a un épisode spécial catastrophe, mais même avant on avait le droit avec des moments tristounets, ne serait-ce qu'avec la mort de certains personnages, la musique aidant beaucoup), j'espère que les producteurs continueront à nous enchanter et à nous surprendre, tant qu'à faire ! Car si la célèbre série peut perdre de sa superbe parfois, que la recette est toujours la même, ça fonctionne et c'est très sympathique !
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Série number one : True Blood.
C'était obligé que je mette cette série en première place ! C'est sans doute la série que j'attends patiemment chaque été. Impossible que je ne classe pas cette série, c'est vraiment quelque chose cette série. Et même si ça ne fait que relancer en partie la mode des vampires depuis Twilight, je dois dire que True Blood s'éloigne radicalement des livres de Stephenie Meyer, ça a beau traiter de vampires et cie, ce n'est pas la même chose, loin de là ! Cette série, je l'ai découverte en 2009 je crois, où j'ai dévoré les deux premières saisons en une semaine, pour ensuite attendre la saison trois et jusqu'à aujourd'hui la saison quatre. Cette série reprend la série de bit-lit de Charlaine Harris : La communauté du sud, mais loin d'être un copier-coller des livres, cette série ne fait que reprendre l'idée de base des romans et les personnages. Il y a pas mal de libertés, je dirais même que la série est bien meilleure que les romans dans le sens où les personnages, même secondaires, sont mieux exploités et plus approfondis. Chaque saison pour un tome de La communauté du sud, avec pas mal de libertés, la série reprend l'idée de base.
La série commençant tout d'abord avec les vampires sur le devant de la scène, tout en traitant par la suite de nouvelles créatures surnaturelles qu'on découvre : des ménades, des loups-garous, des fées, des panthères-garous et des sorcières jusqu'à présent, avec toujours des vampires par-ci par-là, comment peut-il en être autrement ? Car Sookie Stackhouse, serveuse et télépathe de son état, tombe amoureuse d'un vampire nommé Bill Compton. D'abord méfiante et quelque peu effrayée, elle s'attache à son vampire d'amour. Les vampires ayant fait leur coming-out il y a peu, surtout grâce à l'invention d'une boisson : le True Blood, se présentant comme étant un substitu de sang pour les vampires qui pourront se nourir sans tuer mais pas tous les vampires se plient à cette régle et les humains eux-même se méfiant des vampires, ne voyant pas d'un très bon oeil l'arrivée de ces morts-vivants, cette impression se faisant plus ressentir dans les saisons une, trois et quatre. Dans le beau cadre de la Nouvelle-Orléans et la ville de Bon Temps que j'aime retrouver avec le bar-restaurant Chez Merlotte par exemple, nous suivons la jeune télépathe Sookie Stackhouse, parfois ses déboires amoureux avec Bill peuvent être agaçants, il faut dire que moi, je préfère de loin le beau vampire-viking Eric Northman, sheriff-vampire et tenant du bar pour vampire Fangtasia. Ce que j'espère, niveau romance, est la mise en place du couple Eric/Sookie, entre eux, il y aura plus d'étincelles que chez le Bill/Sookie. Sookie change sans le savoir Eric, vampire froid qui se fiche des autres et des humains. Il ne fait confiance qu'à son enfant vampire Pam, mais on ressent le changement alors qu'il fréquente de plus en plus Sookie, surtout dans la saison quatre. Par contre, dans la série, ça peut être assez violent dans le sens où certaines scènes peuvent choquer. C'est pas pour les enfants : scènes de sexe ou de combat, des tueries, du sang et des morceaux d'organes qui dégoulinent partout lorsqu'un vampire est tué... mieux vaut ne pas être trop prude et avoir peur de la vue du sang avec True Blood.
En plus de ça, des fins d'épisodes ou même de saison de terminant en véritable cliffhanger (fin à suspence), de quoi jouer avec les nerfs des spectateurs, des scènes croustillantes (Ericsookieericsookieericsookieericsookie), l'atmosphère et les décors de la Nouvelle-Orléans, nous plongeant en plein coeur de l'Amérique, de la Lousiane, divers créatures, un monde intéressant pour ces créatures comme les vampires avec leur hierarchie et leur politique, des enquêtes policières allant souvent vers le paranormal (concernant majoritairement vampires/sorcières/lycantrophes), chaque personnage même secondaire a son histoire, une place dans les épisodes. On s'intéresse à pratiquement tous les personnages. Bref, bref, bref, une très bonne série pour moi, que du bonheur.
C'était obligé que je mette cette série en première place ! C'est sans doute la série que j'attends patiemment chaque été. Impossible que je ne classe pas cette série, c'est vraiment quelque chose cette série. Et même si ça ne fait que relancer en partie la mode des vampires depuis Twilight, je dois dire que True Blood s'éloigne radicalement des livres de Stephenie Meyer, ça a beau traiter de vampires et cie, ce n'est pas la même chose, loin de là ! Cette série, je l'ai découverte en 2009 je crois, où j'ai dévoré les deux premières saisons en une semaine, pour ensuite attendre la saison trois et jusqu'à aujourd'hui la saison quatre. Cette série reprend la série de bit-lit de Charlaine Harris : La communauté du sud, mais loin d'être un copier-coller des livres, cette série ne fait que reprendre l'idée de base des romans et les personnages. Il y a pas mal de libertés, je dirais même que la série est bien meilleure que les romans dans le sens où les personnages, même secondaires, sont mieux exploités et plus approfondis. Chaque saison pour un tome de La communauté du sud, avec pas mal de libertés, la série reprend l'idée de base.
La série commençant tout d'abord avec les vampires sur le devant de la scène, tout en traitant par la suite de nouvelles créatures surnaturelles qu'on découvre : des ménades, des loups-garous, des fées, des panthères-garous et des sorcières jusqu'à présent, avec toujours des vampires par-ci par-là, comment peut-il en être autrement ? Car Sookie Stackhouse, serveuse et télépathe de son état, tombe amoureuse d'un vampire nommé Bill Compton. D'abord méfiante et quelque peu effrayée, elle s'attache à son vampire d'amour. Les vampires ayant fait leur coming-out il y a peu, surtout grâce à l'invention d'une boisson : le True Blood, se présentant comme étant un substitu de sang pour les vampires qui pourront se nourir sans tuer mais pas tous les vampires se plient à cette régle et les humains eux-même se méfiant des vampires, ne voyant pas d'un très bon oeil l'arrivée de ces morts-vivants, cette impression se faisant plus ressentir dans les saisons une, trois et quatre. Dans le beau cadre de la Nouvelle-Orléans et la ville de Bon Temps que j'aime retrouver avec le bar-restaurant Chez Merlotte par exemple, nous suivons la jeune télépathe Sookie Stackhouse, parfois ses déboires amoureux avec Bill peuvent être agaçants, il faut dire que moi, je préfère de loin le beau vampire-viking Eric Northman, sheriff-vampire et tenant du bar pour vampire Fangtasia. Ce que j'espère, niveau romance, est la mise en place du couple Eric/Sookie, entre eux, il y aura plus d'étincelles que chez le Bill/Sookie. Sookie change sans le savoir Eric, vampire froid qui se fiche des autres et des humains. Il ne fait confiance qu'à son enfant vampire Pam, mais on ressent le changement alors qu'il fréquente de plus en plus Sookie, surtout dans la saison quatre. Par contre, dans la série, ça peut être assez violent dans le sens où certaines scènes peuvent choquer. C'est pas pour les enfants : scènes de sexe ou de combat, des tueries, du sang et des morceaux d'organes qui dégoulinent partout lorsqu'un vampire est tué... mieux vaut ne pas être trop prude et avoir peur de la vue du sang avec True Blood.
En plus de ça, des fins d'épisodes ou même de saison de terminant en véritable cliffhanger (fin à suspence), de quoi jouer avec les nerfs des spectateurs, des scènes croustillantes (Ericsookieericsookieericsookieericsookie), l'atmosphère et les décors de la Nouvelle-Orléans, nous plongeant en plein coeur de l'Amérique, de la Lousiane, divers créatures, un monde intéressant pour ces créatures comme les vampires avec leur hierarchie et leur politique, des enquêtes policières allant souvent vers le paranormal (concernant majoritairement vampires/sorcières/lycantrophes), chaque personnage même secondaire a son histoire, une place dans les épisodes. On s'intéresse à pratiquement tous les personnages. Bref, bref, bref, une très bonne série pour moi, que du bonheur.