Mon top 5 des séries télévisées I
[Edit mai 2012]
A l'origine, je voulais faire une catégorie spéciale pour les séries télévisées, celles que je regarde, celles que j'ai aimé en particulier. Mais ce blog étant majoritairement consacré aux films, je me suis dit qu'il valait mieux répertorier mes séries coups de coeur en un article et faire un autre article sur les séries que j'ai bien aimé, souvent regardé sans être un coup de coeur en particulier. Donc s'il y aura bel et bien une catégorie pour les séries tv mais le nombre d'articles ne dépassera pas le nombre trois-cinq. Ici sont donc répertoriées les cinq séries tv que j'ai suffisament adoré pour que ce soit un coup de coeur que je revisionne souvent et attends chaque nouvelle saison avec impatience. Je vais donc parler des cinq séries tv qui m'ont marqué, sans trop de précision malgrè tout, ce sera un résumé et mes impressions. J'ai eu du mal à faire ce classement mais malgrè tout, je pense y être parvenue ! Donc, allons-y !
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[Edit mai 2012]
A l'origine, je voulais faire une catégorie spéciale pour les séries télévisées, celles que je regarde, celles que j'ai aimé en particulier. Mais ce blog étant majoritairement consacré aux films, je me suis dit qu'il valait mieux répertorier mes séries coups de coeur en un article et faire un autre article sur les séries que j'ai bien aimé, souvent regardé sans être un coup de coeur en particulier. Donc s'il y aura bel et bien une catégorie pour les séries tv mais le nombre d'articles ne dépassera pas le nombre trois-cinq. Ici sont donc répertoriées les cinq séries tv que j'ai suffisament adoré pour que ce soit un coup de coeur que je revisionne souvent et attends chaque nouvelle saison avec impatience. Je vais donc parler des cinq séries tv qui m'ont marqué, sans trop de précision malgrè tout, ce sera un résumé et mes impressions. J'ai eu du mal à faire ce classement mais malgrè tout, je pense y être parvenue ! Donc, allons-y !
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Série number five : Once upon a time.
J'ai un peu hésité à la mettre dans ce top, cette série, car je ne sais pas si je pourrais l'attribuer dans mes coups de coeur, mais au final je l'ai fait car ça reste une très bonne série et dont j'attends et suis toujours avec plaisir les épisodes, et j'ai été contente d'apprendre qu'elle était renouvelée pour une saison deux (en même temps, le contraire aurait été étonnant : avec toutes ces questions encore sans réponses et la storyline pas encore terminée, et avec le nombres de personnages pas encore présentés/exploités, les fans de la série auraient hurlé si les réalisateurs n'avaient pas prévu une seconde saison). Once upon a time, c'est une série qui est bien partie, qui a bien démarré et qui a, je pense, encore de beaux jours devant elle. Arrivée sur les écrans américains en automne 2011, elle devrait bientôt arriver en France, et semble avoir lançé une certaine mode, un renouveau des contes de fées (... et des anciens Disney !)
Cette série est un mélange entre les contes de fées et le monde moderne. Dans un univers où les contes de fées n'ont pas eu leur happy ever after lorsque la belle-mère de Blanche-Neige, la Reine, ne pouvant supporter le bonheur d'une Blanche-Neige mariée, enceinte et nagant dans le bonheur le plus complet, décide de jeter une malédiction sur tous les protagonistes des contes de fées : tous amnésiques, ils sont projetés dans une ville du Maine appellée Storybrooke, sans aucun souvenir de leur monde d'origine, celui de la magie. La Reine règne en maire sur Storybrooke et veille au bon fonctionnement de la malédiction. Ce qu'elle ignorait était qu'une personne en particulier a le pouvoir de briser ce mauvais sort : Emma, la fille de Blanche-Neige. Ayant accouché avant l'heure, Blanche-Neige et son mari parviennent à sauver leur fille en l'envoyant sur Terre, en Amérique, où elle ne serait pas la victime de la Reine. Orpheline, Emma a longtemps vécu seule... puis un jour, un petit garçon, Henry, qui se dit être son fils biologique vient à elle et l'emmène à Storybrooke en lui racontant des histoires de malédiction et de contes de fées. Rationnelle, Emma a bien du mal à y croire mais décide de s'installer dans cette charmante ville... pour le plus grand déplaisir de Regina, maire de Storybrooke, qui voit l'arrivée d'Emma d'un très mauvais oeil...
J'aime beaucoup cette série qui m'a séduite dès les premiers épisodes. C'est frais, divertissant, agréable, sympathique. Avec une jolie soundtrack (j'appréçie beaucoup l'air du piano qu'ils mettent à chaque fin d'épisode), c'est un remake des contes de fées réussi. Avec une alternance entre le monde des contes de fées et le monde moderne à Storybrooke, on jongle entre les deux. Il n'y a pas forçément de personnage principal car la série s'attaque à pratiquement tous les personnages, leur vie à Storybrooke et la personne qu'ils étaient dans l'univers des contes, il y a parfois des clins d'oeil au niveau de leurs noms de Storybrooke. Par exemple, la serveuse Ruby qui travaille au café de sa grand-mère est en fait le chaperon rouge (et a un porte-clé représentant un loup !), Mr Gold est en fait Rumpelstiltskin, Regina (qui veut dire 'reine' en latin) est la mauvaise reine... même le miroir magique est un personnage et s'appelle Sydney Glass ! On rencontre divers personnages de contes : Cendrillon, Blanche-Neige, le chaperon rouge, la Belle de La Belle et la Bête, Hansel et Gretel... tandis que d'autres viennent de romans : le chapelier toqué d'Alice au Pays des Merveilles, Pinocchio, la lampe magique... mais ces contes sont aussi mélangés aux clins d'oeil de Disney : on rencontre brièvement un dalmatien qui s'appelle Pongo, la Belle a eu un fiançé qui s'appelle Gaston et un père nommé Maurice, et les nains de Blanche-Neige portent les mêmes noms que dans la version de Disney !
Bref, Disney a eu son impact dans la série. Ces contes ne respectent aussi pas tous le même schéma originel, il suffit de voir la relation entre Blanche-Neige et son prince, ou le fait que le prince charmant de Belle n'est pas forçément celui que l'on pourrait croire au départ, sans vouloir spoiler. Au final, ce n'est pas si mal de voir ces contes revisités, de plus, certains personnages ont la possibilité d'avoir une histoire, un vécu (rien qu'avec Regina, même si, malgrè son vécu, elle reste détestable à souhait). Même si je déplore un peu le fait qu'il y ait un peu trop d'histoires d'amour à mon goût, que la morale reste L'amour est plus fort que tout/Le grand amour peut tout sauver ! et que c'est sans cesse répété, ça reste une série bien sympathique, qui me fait d'ailleurs penser au 10e Royaume, qui nous offre de bons personnages (j'ai jeté mon dévolu sur Mr Gold/Rumpelstiltskin, mystérieux et ambigü, je ne sais sur quel pied danser avec lui !), de jolies histoires dans l'univers des contes, une bonne intrigue qui avance lentement mais sûrement, de belles musiques. Bref. Une bonne série, fraîche et divertissante, prenante même ! Une série qui vaut le coup d'oeil !
J'ai un peu hésité à la mettre dans ce top, cette série, car je ne sais pas si je pourrais l'attribuer dans mes coups de coeur, mais au final je l'ai fait car ça reste une très bonne série et dont j'attends et suis toujours avec plaisir les épisodes, et j'ai été contente d'apprendre qu'elle était renouvelée pour une saison deux (en même temps, le contraire aurait été étonnant : avec toutes ces questions encore sans réponses et la storyline pas encore terminée, et avec le nombres de personnages pas encore présentés/exploités, les fans de la série auraient hurlé si les réalisateurs n'avaient pas prévu une seconde saison). Once upon a time, c'est une série qui est bien partie, qui a bien démarré et qui a, je pense, encore de beaux jours devant elle. Arrivée sur les écrans américains en automne 2011, elle devrait bientôt arriver en France, et semble avoir lançé une certaine mode, un renouveau des contes de fées (... et des anciens Disney !)
Cette série est un mélange entre les contes de fées et le monde moderne. Dans un univers où les contes de fées n'ont pas eu leur happy ever after lorsque la belle-mère de Blanche-Neige, la Reine, ne pouvant supporter le bonheur d'une Blanche-Neige mariée, enceinte et nagant dans le bonheur le plus complet, décide de jeter une malédiction sur tous les protagonistes des contes de fées : tous amnésiques, ils sont projetés dans une ville du Maine appellée Storybrooke, sans aucun souvenir de leur monde d'origine, celui de la magie. La Reine règne en maire sur Storybrooke et veille au bon fonctionnement de la malédiction. Ce qu'elle ignorait était qu'une personne en particulier a le pouvoir de briser ce mauvais sort : Emma, la fille de Blanche-Neige. Ayant accouché avant l'heure, Blanche-Neige et son mari parviennent à sauver leur fille en l'envoyant sur Terre, en Amérique, où elle ne serait pas la victime de la Reine. Orpheline, Emma a longtemps vécu seule... puis un jour, un petit garçon, Henry, qui se dit être son fils biologique vient à elle et l'emmène à Storybrooke en lui racontant des histoires de malédiction et de contes de fées. Rationnelle, Emma a bien du mal à y croire mais décide de s'installer dans cette charmante ville... pour le plus grand déplaisir de Regina, maire de Storybrooke, qui voit l'arrivée d'Emma d'un très mauvais oeil...
J'aime beaucoup cette série qui m'a séduite dès les premiers épisodes. C'est frais, divertissant, agréable, sympathique. Avec une jolie soundtrack (j'appréçie beaucoup l'air du piano qu'ils mettent à chaque fin d'épisode), c'est un remake des contes de fées réussi. Avec une alternance entre le monde des contes de fées et le monde moderne à Storybrooke, on jongle entre les deux. Il n'y a pas forçément de personnage principal car la série s'attaque à pratiquement tous les personnages, leur vie à Storybrooke et la personne qu'ils étaient dans l'univers des contes, il y a parfois des clins d'oeil au niveau de leurs noms de Storybrooke. Par exemple, la serveuse Ruby qui travaille au café de sa grand-mère est en fait le chaperon rouge (et a un porte-clé représentant un loup !), Mr Gold est en fait Rumpelstiltskin, Regina (qui veut dire 'reine' en latin) est la mauvaise reine... même le miroir magique est un personnage et s'appelle Sydney Glass ! On rencontre divers personnages de contes : Cendrillon, Blanche-Neige, le chaperon rouge, la Belle de La Belle et la Bête, Hansel et Gretel... tandis que d'autres viennent de romans : le chapelier toqué d'Alice au Pays des Merveilles, Pinocchio, la lampe magique... mais ces contes sont aussi mélangés aux clins d'oeil de Disney : on rencontre brièvement un dalmatien qui s'appelle Pongo, la Belle a eu un fiançé qui s'appelle Gaston et un père nommé Maurice, et les nains de Blanche-Neige portent les mêmes noms que dans la version de Disney !
Bref, Disney a eu son impact dans la série. Ces contes ne respectent aussi pas tous le même schéma originel, il suffit de voir la relation entre Blanche-Neige et son prince, ou le fait que le prince charmant de Belle n'est pas forçément celui que l'on pourrait croire au départ, sans vouloir spoiler. Au final, ce n'est pas si mal de voir ces contes revisités, de plus, certains personnages ont la possibilité d'avoir une histoire, un vécu (rien qu'avec Regina, même si, malgrè son vécu, elle reste détestable à souhait). Même si je déplore un peu le fait qu'il y ait un peu trop d'histoires d'amour à mon goût, que la morale reste L'amour est plus fort que tout/Le grand amour peut tout sauver ! et que c'est sans cesse répété, ça reste une série bien sympathique, qui me fait d'ailleurs penser au 10e Royaume, qui nous offre de bons personnages (j'ai jeté mon dévolu sur Mr Gold/Rumpelstiltskin, mystérieux et ambigü, je ne sais sur quel pied danser avec lui !), de jolies histoires dans l'univers des contes, une bonne intrigue qui avance lentement mais sûrement, de belles musiques. Bref. Une bonne série, fraîche et divertissante, prenante même ! Une série qui vaut le coup d'oeil !
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Série number four : Les Simpson / The Simpsons.
Au début, je n'accordais guère d'importance aux Simpson, pour moi c'était une série idiote et pour les gosses. Mon Dieu, comme j'ai eu tooooord. Comme quoi, on ne peut pas dire qu'on déteste sans avoir essayé. Maintenant, je regarde cette série avec plaisir avec ma petite soeur. C'est frais, c'est divertissant, c'est drôle, c'est idiot mais le genre oh que c'est idiot mais qu'est-ce que j'adore ! Un peu comme la série Malcolm ou Ma famille d'abord quoi. C'est con mais c'est bon ! Mais c'est pas toujours idiot, quelques fois, ça nous offre quelques leçons de vie sur la famille, la religion (par exemple, l'épisode où Flanders, le voisin hyper religieux, voulait bannir De l'origine des espèces de Darwin parce que ça entrait en totale contradiction avec la Bible, alors que la jeune Lisa cherchait à empêcher ça, et aussi empêcher des conflits entre rationnels et croyants), l'amour et le reste. Sans compter que cette série m'a fait découvrir de très belles chansons, m'a donné envie de me plonger dans quelques classiques...
Les Simpson, c'est aussi une parodie des familles américaines typiques. Nous avons le père de famille, Homer qui travaille dans une centrale nucléaire tenue par un richissime patron sans scrupules, qui aime passer son temps à boire de la bière à la Taverne de Moe, et qui est médiocre dans bien des domaines ; Marge, la mère au foyer, qui possède une patience de Sainte pour supporter les mauvaises habitudes de son Homer chéri, c'est l'épouse et la maman parfaite, compréhensible, douce et protectrice ; Bart, le premier de la fratrie, la petite terreur qui aime rendre la vie dure aux proviseur et professeurs de son école, qui aime rigoler et faire des farces à tout le monde, et à mener en bourrique son paternel ; Lisa, l'enfant prodigue, la meilleure élève de sa classe, la plus sensible, la plus sérieuse, la plus rationnelle ; et enfin Maggie, le bébé qui ne parle toujours pas un mot au boût de 23 saisons. Bien-sûr, les personnages de la série, dans la ville de Springfield, ne se limitent pas qu'à la famille Simpson, il y en a tant d'autre, tellement d'autres personnages.
Au boût de 23 saisons, la série s'en sort très bien. Bien-sûr, au début les dessins n'étaient pas terribles selon moi, mais au fur et à mesure qu'on avançe, ça s'est bien amélioré. Mais en général, je trouve la série géniale, quoi. Rien que la manière d'aborder les thématiques, sociales et autres, avec légèreté, humour, ce que la série aborde et comment c'est abordé, ça va même au-delà. Les personnages sont drôles, quand ils ne sont pas touchants et qu'ils prouvent par là qu'ils sont très humains. Caricatures ou pas, ils sont un peu comme nous tous, en somme. Pour la série, la VO est bien, mais la VF est encore mieux, les tons de voix et tout, c'est très marrant, plus que la VO. Pour une fois que je préfère la VF à la VO, d'ailleurs, même le réalisateur de la série, Matt Groening, a avoué dans une interview préférer les voix françaises !
Série number four : Les Simpson / The Simpsons.
Au début, je n'accordais guère d'importance aux Simpson, pour moi c'était une série idiote et pour les gosses. Mon Dieu, comme j'ai eu tooooord. Comme quoi, on ne peut pas dire qu'on déteste sans avoir essayé. Maintenant, je regarde cette série avec plaisir avec ma petite soeur. C'est frais, c'est divertissant, c'est drôle, c'est idiot mais le genre oh que c'est idiot mais qu'est-ce que j'adore ! Un peu comme la série Malcolm ou Ma famille d'abord quoi. C'est con mais c'est bon ! Mais c'est pas toujours idiot, quelques fois, ça nous offre quelques leçons de vie sur la famille, la religion (par exemple, l'épisode où Flanders, le voisin hyper religieux, voulait bannir De l'origine des espèces de Darwin parce que ça entrait en totale contradiction avec la Bible, alors que la jeune Lisa cherchait à empêcher ça, et aussi empêcher des conflits entre rationnels et croyants), l'amour et le reste. Sans compter que cette série m'a fait découvrir de très belles chansons, m'a donné envie de me plonger dans quelques classiques...
Les Simpson, c'est aussi une parodie des familles américaines typiques. Nous avons le père de famille, Homer qui travaille dans une centrale nucléaire tenue par un richissime patron sans scrupules, qui aime passer son temps à boire de la bière à la Taverne de Moe, et qui est médiocre dans bien des domaines ; Marge, la mère au foyer, qui possède une patience de Sainte pour supporter les mauvaises habitudes de son Homer chéri, c'est l'épouse et la maman parfaite, compréhensible, douce et protectrice ; Bart, le premier de la fratrie, la petite terreur qui aime rendre la vie dure aux proviseur et professeurs de son école, qui aime rigoler et faire des farces à tout le monde, et à mener en bourrique son paternel ; Lisa, l'enfant prodigue, la meilleure élève de sa classe, la plus sensible, la plus sérieuse, la plus rationnelle ; et enfin Maggie, le bébé qui ne parle toujours pas un mot au boût de 23 saisons. Bien-sûr, les personnages de la série, dans la ville de Springfield, ne se limitent pas qu'à la famille Simpson, il y en a tant d'autre, tellement d'autres personnages.
Au boût de 23 saisons, la série s'en sort très bien. Bien-sûr, au début les dessins n'étaient pas terribles selon moi, mais au fur et à mesure qu'on avançe, ça s'est bien amélioré. Mais en général, je trouve la série géniale, quoi. Rien que la manière d'aborder les thématiques, sociales et autres, avec légèreté, humour, ce que la série aborde et comment c'est abordé, ça va même au-delà. Les personnages sont drôles, quand ils ne sont pas touchants et qu'ils prouvent par là qu'ils sont très humains. Caricatures ou pas, ils sont un peu comme nous tous, en somme. Pour la série, la VO est bien, mais la VF est encore mieux, les tons de voix et tout, c'est très marrant, plus que la VO. Pour une fois que je préfère la VF à la VO, d'ailleurs, même le réalisateur de la série, Matt Groening, a avoué dans une interview préférer les voix françaises !
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Série number three : Grimm.
Grimm, c'est une toute nouvelle série qui a vu le jour en automne 2011 et qui me faisait plutôt envie. Au début, elle n'avait rien de bien extraordinaire, pour tout dire, pour moi les premiers épisodes, c'était sympa mais sans plus, la série avait un certain potentiel qu'elle n'exploitait pas assez, ce qui était fort dommage car c'est une série plein de promesses, qui pouvait être quelque chose de bien si elle s'en donnait l'effort, mais au final, il y a eu une amélioration (assez tardive, mais bon), j'en suis venue à beaucoup aimer cette série et à attendre la saison deux avec impatience !
La série se déroule à Portland (ce qui nous change donc des habituels New York, San Francisco ou encore Washington... sérieusement, ils n'ont que trois villes aux Etats-Unis, ou quoi ?), où Nick Burkhardt vit et travaille en tant que détective, avec son collègue Hank Griffin. Il mène une vie tout ce qu'il y a de plus normal, et le jour où il se décide à demander en mariage sa petite-amie, il remarque des choses étranges chez certaines personnes... C'est alors que sa tante, Marie Kessler, lui rend visite : elle est très malade et a des révélations inquiètantes à lui dévoiler. Ses parents ne sont pas morts accidentellement, ils ont été assassinés. Et elle est une Grimm, comme les parents Burkhardt, et comme Nick l'est devenu ce même jour. Les Grimm sont des chasseurs de monstres. Ils peuvent voir des choses que les autres ne peuvent voir, comme le vrai visage des créatures qui se dissimulent sous une apparence humaine. Et c'est de leur devoir de chasser ces créatures nuisibles aux humains...
Avec le titre, je m'attendais un peu à un remake moderne des contes de fées, un peu comme Once upon a time, mais il n'en est rien. Si au début de chaque épisode, on a une petite référence aux contes des frères Grimm, la série ressemble plus à Supernatural dans le sens où le personnage principal a une enquête à résoudre qui est en rapport avec le surnaturel, une créature. Si je préfère Supernatural, Grimm reste une série bien sympathique, même si elle aura mis du temps à s'améliorer tout au long de la première saison. Les premiers épisodes étaient bien sympa, mais sans plus, ils offraient de bons élèments à peine exploités, de bonnes idées qui n'étaient pas ou pas suffisament bien développées. Elle offrait plein de promesses mais peu étaient tenues. On restait dans le schéma classique un épisode = un monstre, puis, vers l'épisode 05-06, mais surtout à partir de l'épisode 10, l'histoire devenait bien intéressante, elle s'améliorait peu à peu, devenait plus complexe, plus approfondie, devenait plus intéressante, on s'immergeait enfin dans le monde des Grimm et les personnages (principaux comme secondaires) ont gagné en charisme. Je pense surtout à Nick qui, après une dizaine d'épisodes, entrait de plus en plus avec son côté Grimm, à s'entraîner, s'informer. Il a du potentiel, il est intelligent et sait se battre, ne reste que son dilemne à cacher à ses proches sa nature de Grimm qui lui donne bien du soucis. Comment expliquer sa double vie à sa fiançée ou ses collègues ? Comment leur dire qu'il peut voir des choses que les autres ne peuvent ? Comment expliquer le fait que certains humains (qui sont en fait des créatures) ont peur de lui parce que les Grimm sont des individus qu'ils craignent ?
Heureusement que Nick a Monroe ! Monroe, loup-garou qui fut jadis féroce mais qui est parvenu à calmer ses ardeurs et sa soif de chair humaine grâce à un régime, des médicaments et de nombreuses séances de fitness, et qui a vu Nick entrer dans sa vie de façon assez... inattendue, qui en avait bien assez de voir ce Grimm venir lui demander des conseils sur le monde des Wesen (et donc des créatures) mais qui, finalement, en est venu à beaucoup l'appréçier et à devenir son ami le plus proche. Monroe fut l'un des premiers personnages à m'avoir marqué dans la série, si ce n'est le premier. Un personnage bien intéressant et amusant, c'est un pur bonheur de voir les scènes bromance entre lui et Nick, ils forment un beau duo ! J'ai été ravie de voir que les personnages secondaires étaient mieux exploités, et le grand mystère de la série reste le capitaine Sean Renard, le patron de Nick, qui est bien mystérieux. Humain ou Wesen, il cache des choses, manigance, on ne sait exactement s'il est bon ou méchant et c'est intéressant de le suivre, essayer d'en savoir plus sur lui, de le cerner. J'aime beaucoup le fait qu'au fur et à mesure qu'on avance dans la série, on en apprenne plus sur la communauté Wesen, les Grimm, sur Nick et sa famille. Les enquêtes policières-surnaturelles deviennent plus intéressantes aussi, au final, c'est une série qui a bien évolué et c'est avec plaisir que j'ai appris que Grimm a été renouvelée pour une seconde saison. J'avais peur que, malgrè tout, elle ne serait pas assez appréçiée pour cela, mais au final, elle a un public suffisant pour que Grimm continue avec une seconde saison.
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Série number two : Supernatural.
Série découverte très récemment (cet été pour être exacte), je l'avais d'abord suivie car ça parlait de paranormal, fantômes, créatures surnaturelles, bref tout le tralala qui m'attire habituellement dans la fiction. J'avais visionné la saison une sans pour autant que ce soit un coup de coeur, mais ça se regardait bien, ça me plaisait suffisament pour que je veuille continuer de visionner la suite, ce que j'ai donc fait et voilà qu'en un mois et demi (je suis toujours en plein visionnage), je suis toujours Supernatural et j'ai un sacré coup de coeur envers cette série, alors que ce n'était pas le grand amour au début mais me voilà très attachée à la série et à ses personnages et c'est avec impatience que je regarderai la suite. Je suis suffisament accro pour ça.
Supernatural, ça suit le quotidien de deux frères : Dean et Sam Winchester. Leur famille n'est pas si banale puisque leur mère est morte tragiquement lors de l'incendie de leur maison provoqué par un sinistre individu que le père n'a de cesse de poursuivre dans l'intention de se venger, persuadé que l'individu n'est pas un être humain mais quelque chose de plus inquiètant. Le père devient vite chasseur de surnaturel, et bientôt c'est à l'aîné Dean d'accompagner le père dans les chasses, après que Sam ait quitté le domicile pour poursuivre ses études. Seulement, le père vient à disparaître un beau jour et Dean sort Sam de sa petite vie tranquille pour rechercher leur père, entre quelques enquêtes paranormales : poltergeist, fantôme, esprit vengeur, wendigo, sorcières, vampires ou encore démons, les deux frères n'ont pas le temps de se reposer, mais s'il y a une chose de sûre c'est qu'il peuvent compter l'un sur l'autre.
Pendant les trois-quatre premières saisons, on reste dans le classique un épisode = un monstre. A chaque épisode, un cas surnaturel à résoudre. Pratiquement tout y passe ! Wendigos, loups-garous, sorcières, vampires, poltergeist, fantômes, changelings, polymorphes, goules, zombies, démons... en passant par les quelques soucis familiaux plus ou moins graves que les Winchester rencontrent. Ca se complique un peu plus au niveau de la saison quatre, la série s'approfondit, devient plus complexe, prend une autre dimension tout en gardant parfois le schéma d'origine un épisode = un cas surnaturel. Les anges et les démons, mais surtout les anges, se font de plus en plus présents. En fait, ils apparaissent vraiment dans la saison quatre, plus particulièrement en la personne de Castiel qui se fait ange gardien de Dean qui, hélas pour le pauvre Castiel, n'a pas la foi et n'a jamais cru en Dieu ou aux anges, bien qu'il croit facilement aux démons et autres créatures peu recommandables. La rencontre Dean/Castiel ne sera pas des plus chaleureuses, assez amusant quand on sait que Castiel finira par être le seul ami que Dean ait jamais eu. Les saisons quatre et cinq prennent des airs d'Apocalypse, une Apocalypse revisitée, avec une famille d'anges du Paradis assez dysfonctionnelle. Les anges ne sont pas tous des Saints ici, depuis la chute de Lucifer, ils sont (plus particulièrement les Archanges) comme une famille brisée et dysfonctionnelle après que Dieu soit aux abonnés absents. La série devient un peu plus sombre, profonde et complexe.
Mais ça reste franchement très sympathique, ce n'est pas une série dark de chez dark, l'humour est bien présent, avec de bonnes répliques, et j'aime aussi la façon de la série de se moquer d'elle-même, à se tourner en dérision (par exemple, l'épisode The French Mistake, dans la saison six, où Dean et Sam sont projetés dans un monde où ils sont des acteurs jouant dans la série Supernatural), peu de séries sont capables de ça. La série s'est vraiment bonnifiée avec le temps, car même si le schéma des premières saisons était bien sympa, ça risquait de faire assez répétitif, mais finalement, elle a bien évolué. Un peu effrayante au début (rien que l'épisode sur Bloody Mary), elle a bien grandit et nous offre de bons moments, de nombreuses références culturelles (romans, musiques, films...), des moments drôles ou tendres, et de très bons personnages pour la plupart, rien que Castiel, un personnage qui aura bien évolué depuis sa première apparition dans la saison quatre. De parfait petit soldat, il en est venu à se poser plus de questions, à s'attacher à Dean et Sam, au genre humain en général, à se battre pour ses idées... même si, la plupart du temps, il peine à comprendre les comportements et technologies des humains (rien que son message vocal sur son téléphone portable 'You've reached the voicemail of : *biiiip* I don't understand... why... why do you want me to say my name ?'). Ah, les moments où Castiel est confronté au monde des humains, leurs moeurs et technologies... et ne parlons pas des personnages qui font de l'humour en sous-entendant une relation Dean/Castiel (comme Balthazar et son 'You're confusing me with the other angel. You know, the one with the dirty trench coat who's in love with you.')
Et cette série aura eu le mérite de me présenter une belle brochette d'acteurs : Jensen Ackles, Jared Padalecki, Misha Collins, Mark Sheppard, Sebastian Roché... bref, je pense pouvoir dire que Supernatural fait désormais parti de mes séries préférées, et que sans elle, jamais je n'aurais connu (ou fait plus attention car il était déjà apparu dans Charmed et Nip/Tuck, deux séries que je connais très bien) à Misha Collins, un acteur formidable !
Grimm, c'est une toute nouvelle série qui a vu le jour en automne 2011 et qui me faisait plutôt envie. Au début, elle n'avait rien de bien extraordinaire, pour tout dire, pour moi les premiers épisodes, c'était sympa mais sans plus, la série avait un certain potentiel qu'elle n'exploitait pas assez, ce qui était fort dommage car c'est une série plein de promesses, qui pouvait être quelque chose de bien si elle s'en donnait l'effort, mais au final, il y a eu une amélioration (assez tardive, mais bon), j'en suis venue à beaucoup aimer cette série et à attendre la saison deux avec impatience !
La série se déroule à Portland (ce qui nous change donc des habituels New York, San Francisco ou encore Washington... sérieusement, ils n'ont que trois villes aux Etats-Unis, ou quoi ?), où Nick Burkhardt vit et travaille en tant que détective, avec son collègue Hank Griffin. Il mène une vie tout ce qu'il y a de plus normal, et le jour où il se décide à demander en mariage sa petite-amie, il remarque des choses étranges chez certaines personnes... C'est alors que sa tante, Marie Kessler, lui rend visite : elle est très malade et a des révélations inquiètantes à lui dévoiler. Ses parents ne sont pas morts accidentellement, ils ont été assassinés. Et elle est une Grimm, comme les parents Burkhardt, et comme Nick l'est devenu ce même jour. Les Grimm sont des chasseurs de monstres. Ils peuvent voir des choses que les autres ne peuvent voir, comme le vrai visage des créatures qui se dissimulent sous une apparence humaine. Et c'est de leur devoir de chasser ces créatures nuisibles aux humains...
Avec le titre, je m'attendais un peu à un remake moderne des contes de fées, un peu comme Once upon a time, mais il n'en est rien. Si au début de chaque épisode, on a une petite référence aux contes des frères Grimm, la série ressemble plus à Supernatural dans le sens où le personnage principal a une enquête à résoudre qui est en rapport avec le surnaturel, une créature. Si je préfère Supernatural, Grimm reste une série bien sympathique, même si elle aura mis du temps à s'améliorer tout au long de la première saison. Les premiers épisodes étaient bien sympa, mais sans plus, ils offraient de bons élèments à peine exploités, de bonnes idées qui n'étaient pas ou pas suffisament bien développées. Elle offrait plein de promesses mais peu étaient tenues. On restait dans le schéma classique un épisode = un monstre, puis, vers l'épisode 05-06, mais surtout à partir de l'épisode 10, l'histoire devenait bien intéressante, elle s'améliorait peu à peu, devenait plus complexe, plus approfondie, devenait plus intéressante, on s'immergeait enfin dans le monde des Grimm et les personnages (principaux comme secondaires) ont gagné en charisme. Je pense surtout à Nick qui, après une dizaine d'épisodes, entrait de plus en plus avec son côté Grimm, à s'entraîner, s'informer. Il a du potentiel, il est intelligent et sait se battre, ne reste que son dilemne à cacher à ses proches sa nature de Grimm qui lui donne bien du soucis. Comment expliquer sa double vie à sa fiançée ou ses collègues ? Comment leur dire qu'il peut voir des choses que les autres ne peuvent ? Comment expliquer le fait que certains humains (qui sont en fait des créatures) ont peur de lui parce que les Grimm sont des individus qu'ils craignent ?
Heureusement que Nick a Monroe ! Monroe, loup-garou qui fut jadis féroce mais qui est parvenu à calmer ses ardeurs et sa soif de chair humaine grâce à un régime, des médicaments et de nombreuses séances de fitness, et qui a vu Nick entrer dans sa vie de façon assez... inattendue, qui en avait bien assez de voir ce Grimm venir lui demander des conseils sur le monde des Wesen (et donc des créatures) mais qui, finalement, en est venu à beaucoup l'appréçier et à devenir son ami le plus proche. Monroe fut l'un des premiers personnages à m'avoir marqué dans la série, si ce n'est le premier. Un personnage bien intéressant et amusant, c'est un pur bonheur de voir les scènes bromance entre lui et Nick, ils forment un beau duo ! J'ai été ravie de voir que les personnages secondaires étaient mieux exploités, et le grand mystère de la série reste le capitaine Sean Renard, le patron de Nick, qui est bien mystérieux. Humain ou Wesen, il cache des choses, manigance, on ne sait exactement s'il est bon ou méchant et c'est intéressant de le suivre, essayer d'en savoir plus sur lui, de le cerner. J'aime beaucoup le fait qu'au fur et à mesure qu'on avance dans la série, on en apprenne plus sur la communauté Wesen, les Grimm, sur Nick et sa famille. Les enquêtes policières-surnaturelles deviennent plus intéressantes aussi, au final, c'est une série qui a bien évolué et c'est avec plaisir que j'ai appris que Grimm a été renouvelée pour une seconde saison. J'avais peur que, malgrè tout, elle ne serait pas assez appréçiée pour cela, mais au final, elle a un public suffisant pour que Grimm continue avec une seconde saison.
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Série number two : Supernatural.
Série découverte très récemment (cet été pour être exacte), je l'avais d'abord suivie car ça parlait de paranormal, fantômes, créatures surnaturelles, bref tout le tralala qui m'attire habituellement dans la fiction. J'avais visionné la saison une sans pour autant que ce soit un coup de coeur, mais ça se regardait bien, ça me plaisait suffisament pour que je veuille continuer de visionner la suite, ce que j'ai donc fait et voilà qu'en un mois et demi (je suis toujours en plein visionnage), je suis toujours Supernatural et j'ai un sacré coup de coeur envers cette série, alors que ce n'était pas le grand amour au début mais me voilà très attachée à la série et à ses personnages et c'est avec impatience que je regarderai la suite. Je suis suffisament accro pour ça.
Supernatural, ça suit le quotidien de deux frères : Dean et Sam Winchester. Leur famille n'est pas si banale puisque leur mère est morte tragiquement lors de l'incendie de leur maison provoqué par un sinistre individu que le père n'a de cesse de poursuivre dans l'intention de se venger, persuadé que l'individu n'est pas un être humain mais quelque chose de plus inquiètant. Le père devient vite chasseur de surnaturel, et bientôt c'est à l'aîné Dean d'accompagner le père dans les chasses, après que Sam ait quitté le domicile pour poursuivre ses études. Seulement, le père vient à disparaître un beau jour et Dean sort Sam de sa petite vie tranquille pour rechercher leur père, entre quelques enquêtes paranormales : poltergeist, fantôme, esprit vengeur, wendigo, sorcières, vampires ou encore démons, les deux frères n'ont pas le temps de se reposer, mais s'il y a une chose de sûre c'est qu'il peuvent compter l'un sur l'autre.
Pendant les trois-quatre premières saisons, on reste dans le classique un épisode = un monstre. A chaque épisode, un cas surnaturel à résoudre. Pratiquement tout y passe ! Wendigos, loups-garous, sorcières, vampires, poltergeist, fantômes, changelings, polymorphes, goules, zombies, démons... en passant par les quelques soucis familiaux plus ou moins graves que les Winchester rencontrent. Ca se complique un peu plus au niveau de la saison quatre, la série s'approfondit, devient plus complexe, prend une autre dimension tout en gardant parfois le schéma d'origine un épisode = un cas surnaturel. Les anges et les démons, mais surtout les anges, se font de plus en plus présents. En fait, ils apparaissent vraiment dans la saison quatre, plus particulièrement en la personne de Castiel qui se fait ange gardien de Dean qui, hélas pour le pauvre Castiel, n'a pas la foi et n'a jamais cru en Dieu ou aux anges, bien qu'il croit facilement aux démons et autres créatures peu recommandables. La rencontre Dean/Castiel ne sera pas des plus chaleureuses, assez amusant quand on sait que Castiel finira par être le seul ami que Dean ait jamais eu. Les saisons quatre et cinq prennent des airs d'Apocalypse, une Apocalypse revisitée, avec une famille d'anges du Paradis assez dysfonctionnelle. Les anges ne sont pas tous des Saints ici, depuis la chute de Lucifer, ils sont (plus particulièrement les Archanges) comme une famille brisée et dysfonctionnelle après que Dieu soit aux abonnés absents. La série devient un peu plus sombre, profonde et complexe.
Mais ça reste franchement très sympathique, ce n'est pas une série dark de chez dark, l'humour est bien présent, avec de bonnes répliques, et j'aime aussi la façon de la série de se moquer d'elle-même, à se tourner en dérision (par exemple, l'épisode The French Mistake, dans la saison six, où Dean et Sam sont projetés dans un monde où ils sont des acteurs jouant dans la série Supernatural), peu de séries sont capables de ça. La série s'est vraiment bonnifiée avec le temps, car même si le schéma des premières saisons était bien sympa, ça risquait de faire assez répétitif, mais finalement, elle a bien évolué. Un peu effrayante au début (rien que l'épisode sur Bloody Mary), elle a bien grandit et nous offre de bons moments, de nombreuses références culturelles (romans, musiques, films...), des moments drôles ou tendres, et de très bons personnages pour la plupart, rien que Castiel, un personnage qui aura bien évolué depuis sa première apparition dans la saison quatre. De parfait petit soldat, il en est venu à se poser plus de questions, à s'attacher à Dean et Sam, au genre humain en général, à se battre pour ses idées... même si, la plupart du temps, il peine à comprendre les comportements et technologies des humains (rien que son message vocal sur son téléphone portable 'You've reached the voicemail of : *biiiip* I don't understand... why... why do you want me to say my name ?'). Ah, les moments où Castiel est confronté au monde des humains, leurs moeurs et technologies... et ne parlons pas des personnages qui font de l'humour en sous-entendant une relation Dean/Castiel (comme Balthazar et son 'You're confusing me with the other angel. You know, the one with the dirty trench coat who's in love with you.')
Et cette série aura eu le mérite de me présenter une belle brochette d'acteurs : Jensen Ackles, Jared Padalecki, Misha Collins, Mark Sheppard, Sebastian Roché... bref, je pense pouvoir dire que Supernatural fait désormais parti de mes séries préférées, et que sans elle, jamais je n'aurais connu (ou fait plus attention car il était déjà apparu dans Charmed et Nip/Tuck, deux séries que je connais très bien) à Misha Collins, un acteur formidable !
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Série number one : Sherlock / BBC Sherlock.
Et voilà la série numéro une de mon palmarès ! Découverte récemment (l'été dernier pour être exacte), cette série a suscité mon intérêt en même pas cinq minutes, pourtant Dieu sait que j'étais quelque peu sceptique, comme j'ai eu tooooord ! S'il n'y avait pas eu Matilda et son blog, jamais je n'aurais connu cette série phénoménale. En toute bonne fan de Sherlock Holmes, elle n'a pas pû passer à côté de cette nouvelle série de la BBC et encore moins en parler. La curiosité aiguisée, j'ai visionné le premier épisode... puis ait attendu avec impatience les suivant pour gémir ensuite sur l'attente insupportable pour la saison deux que j'ai attendu jusque début 2012, ce qui est sûr, c'est que je ne regrette pas le visionnage de la série, oh que non. J'ai craqué pour cette série et j'attends la suite avec impatience.
Pourtant, nombreux sont ceux qui ont repris le personnage et l'univers de Conan Doyle et qui ont râté leur coup, reproduire l'original à la perfection c'est impossible. Sans dire que BBC Sherlock est une reprise parfaite des aventures de Sherlock Holmes de Doyle, BBC s'en sort très bien en nous offrant une version moderne de Sherlock Holmes. Pari risqué oui, mais pari tenu avec brio sans se casser les dents. Sans reprendre toute l'oeuvre de Doyle, la série garde à l'esprit les personnages et leurs personnalités, le tout dans un Londres où grouillent enquêtes criminelles et Scotland Yard. Avec des références au canon de Doyle, on est plongé dans le Londres des temps moderne où John Watson, médecin militaire rapatrié en Angleterre après avoir été blessé en Afghanistan, recherche désespérément un endroit où loger. Il rencontre, grâce à une connaissance commune, un personnage excentrique mais brillant, Sherlock Holmes, détective consultant. Il enquête pour le plaisir de trouver des affaires farfelues, compliquées et intéressantes, pas pour l'argent. Plus l'enquête est compliquée, plus il y prend plaisir. Etrange, excentrique, cynique, parfois froid mais intelligent, brillant et génial, John Watson emménage avec Sherlock Holmes et se retrouve entraîné dans un monde d'action, de courses au criminel et aux indices, d'enquêtes. Des affaires policières bien trouvées avec des raisonnements du maître Holmes incroyables, assez pour m'épater, moi qui me lasse de voir tant de séries policières. Ici, Sherlock Holmes se modernise sans enlever tout le charme de l'univers de Doyle.
Sans être un copier-coller des oeuvres Doyliennes, nous avons des enquêtes toutes neuves tout en gardant quelques similitudes avec celles inventées et écrites par Doyle. Toute l'ambiance des séries télévisées britanniques est là ! Avec des personnages tels la logeuse Mrs Hudson, Scotland Yard avec le lieutenant Lestrade et ses deux équipiers qui font tourner Sherlock en bourrique et inversement : Donovan et Anderson. N'oublions pas Mycroft Holmes en agent du gouvernement de Sa Majesté, ou encore Jim Moriarty, nemesis de Sherlock, criminel consultant, un vrai génie du mal avec des paroles et un ton de voix qui peuvent prêter à rire mais on devine très bien le criminel génial et brillant. Et comment oublier Sherlock et John ? C'est le début d'une longue amitié particulière mais attachante qui s'installe entre eux, entre quelques enquêtes policières intéressantes qui nous tiennent en haleine jusqu'au boût. A noter qu'une saison compte trois épisodes seulement, mais trois épisodes de 60 minutes minimum, 1h30 grand maximum, et que visiblement, chaque fin de saison se termine en véritable cliffhanger, de quoi faire agoniser les fans avec l'attente de la saison prochaine, que des sadiques ! Mais honnêtement, je n'ai pas à me plaindre, la série a bien commençé et offre plein de promesses et de clins d'oeil au canon Holmesien. Comment résister ? Même les acteurs sont géniaux, mon coup de coeur reste Martin Freeman qui offre un très bon Watson qui est à la fois adorable, amical, combattif, drôle, courageux et humain. Il est le côté humain et chaleureux du duo John/Sherlock, Sherlock incarnant la froideur de la logique, quoique Sherlock peut parfois se lâcher un peu pour rire ou être amical avec John. Benedict Cumberbatch nous offre un beau Sherlock bien convaincant, je n'ai vraiment rien à reprocher aux jeux des acteurs. Bref, Sherlock, c'est mon coup de coeur niveau série télévisée. Du rire, des larmes, de la tension. J'aime, j'aime, j'aime !! Vivement la troisième saison !!
Série number one : Sherlock / BBC Sherlock.
Et voilà la série numéro une de mon palmarès ! Découverte récemment (l'été dernier pour être exacte), cette série a suscité mon intérêt en même pas cinq minutes, pourtant Dieu sait que j'étais quelque peu sceptique, comme j'ai eu tooooord ! S'il n'y avait pas eu Matilda et son blog, jamais je n'aurais connu cette série phénoménale. En toute bonne fan de Sherlock Holmes, elle n'a pas pû passer à côté de cette nouvelle série de la BBC et encore moins en parler. La curiosité aiguisée, j'ai visionné le premier épisode... puis ait attendu avec impatience les suivant pour gémir ensuite sur l'attente insupportable pour la saison deux que j'ai attendu jusque début 2012, ce qui est sûr, c'est que je ne regrette pas le visionnage de la série, oh que non. J'ai craqué pour cette série et j'attends la suite avec impatience.
Pourtant, nombreux sont ceux qui ont repris le personnage et l'univers de Conan Doyle et qui ont râté leur coup, reproduire l'original à la perfection c'est impossible. Sans dire que BBC Sherlock est une reprise parfaite des aventures de Sherlock Holmes de Doyle, BBC s'en sort très bien en nous offrant une version moderne de Sherlock Holmes. Pari risqué oui, mais pari tenu avec brio sans se casser les dents. Sans reprendre toute l'oeuvre de Doyle, la série garde à l'esprit les personnages et leurs personnalités, le tout dans un Londres où grouillent enquêtes criminelles et Scotland Yard. Avec des références au canon de Doyle, on est plongé dans le Londres des temps moderne où John Watson, médecin militaire rapatrié en Angleterre après avoir été blessé en Afghanistan, recherche désespérément un endroit où loger. Il rencontre, grâce à une connaissance commune, un personnage excentrique mais brillant, Sherlock Holmes, détective consultant. Il enquête pour le plaisir de trouver des affaires farfelues, compliquées et intéressantes, pas pour l'argent. Plus l'enquête est compliquée, plus il y prend plaisir. Etrange, excentrique, cynique, parfois froid mais intelligent, brillant et génial, John Watson emménage avec Sherlock Holmes et se retrouve entraîné dans un monde d'action, de courses au criminel et aux indices, d'enquêtes. Des affaires policières bien trouvées avec des raisonnements du maître Holmes incroyables, assez pour m'épater, moi qui me lasse de voir tant de séries policières. Ici, Sherlock Holmes se modernise sans enlever tout le charme de l'univers de Doyle.
Sans être un copier-coller des oeuvres Doyliennes, nous avons des enquêtes toutes neuves tout en gardant quelques similitudes avec celles inventées et écrites par Doyle. Toute l'ambiance des séries télévisées britanniques est là ! Avec des personnages tels la logeuse Mrs Hudson, Scotland Yard avec le lieutenant Lestrade et ses deux équipiers qui font tourner Sherlock en bourrique et inversement : Donovan et Anderson. N'oublions pas Mycroft Holmes en agent du gouvernement de Sa Majesté, ou encore Jim Moriarty, nemesis de Sherlock, criminel consultant, un vrai génie du mal avec des paroles et un ton de voix qui peuvent prêter à rire mais on devine très bien le criminel génial et brillant. Et comment oublier Sherlock et John ? C'est le début d'une longue amitié particulière mais attachante qui s'installe entre eux, entre quelques enquêtes policières intéressantes qui nous tiennent en haleine jusqu'au boût. A noter qu'une saison compte trois épisodes seulement, mais trois épisodes de 60 minutes minimum, 1h30 grand maximum, et que visiblement, chaque fin de saison se termine en véritable cliffhanger, de quoi faire agoniser les fans avec l'attente de la saison prochaine, que des sadiques ! Mais honnêtement, je n'ai pas à me plaindre, la série a bien commençé et offre plein de promesses et de clins d'oeil au canon Holmesien. Comment résister ? Même les acteurs sont géniaux, mon coup de coeur reste Martin Freeman qui offre un très bon Watson qui est à la fois adorable, amical, combattif, drôle, courageux et humain. Il est le côté humain et chaleureux du duo John/Sherlock, Sherlock incarnant la froideur de la logique, quoique Sherlock peut parfois se lâcher un peu pour rire ou être amical avec John. Benedict Cumberbatch nous offre un beau Sherlock bien convaincant, je n'ai vraiment rien à reprocher aux jeux des acteurs. Bref, Sherlock, c'est mon coup de coeur niveau série télévisée. Du rire, des larmes, de la tension. J'aime, j'aime, j'aime !! Vivement la troisième saison !!
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Ainsi s'achève mon top cinq des séries télévisées, même s'il doit y en avoir encore qui auraient pû rejoindre ce palmarès, mais j'y consacrerai un nouvel article un de ces jours, je pense notamment à la série Ghost Whisperer, Docteur House, Desperate Housewives, Charmed, Nip/tuck ou encore Sex and the city. Ici sont répertoriées mes cinq préférées parmi celles que je regarde.
Ainsi s'achève mon top cinq des séries télévisées, même s'il doit y en avoir encore qui auraient pû rejoindre ce palmarès, mais j'y consacrerai un nouvel article un de ces jours, je pense notamment à la série Ghost Whisperer, Docteur House, Desperate Housewives, Charmed, Nip/tuck ou encore Sex and the city. Ici sont répertoriées mes cinq préférées parmi celles que je regarde.